Les États-Unis ont annoncé des sanctions contre 10 membres du Hamas et son réseau financier, étendant leur soutien à Israël dans les affrontements avec le Hamas. Ces sanctions visent des responsables du Hamas présents en Gaza, au Soudan, en Turquie, en Algérie et au Qatar, selon l’agence d’information américaine Associated Press.
En parallèle, le Pentagone a placé 2 000 soldats américains en état d’alerte en vue d’un possible déploiement au Moyen-Orient pour soutenir Israël face aux attaques du Hamas. Cette décision souligne l’implication croissante des États-Unis dans le conflit en cours.
Depuis le début des affrontements le 7 octobre, les frappes israéliennes à Gaza ont causé la mort de 3 478 personnes, selon un bilan récent de l’organisation palestinienne. Ces chiffres témoignent de la violence croissante dans la région, suscitant des préoccupations internationales quant à l’escalade du conflit.
Les sanctions américaines contre le Hamas et le renforcement de la présence militaire américaine au Moyen-Orient marquent un tournant dans ce conflit complexe, avec des implications potentiellement majeures pour la région et au-delà. La communauté internationale surveille de près l’évolution de la situation, craignant une escalade encore plus grave des hostilités.