Vous avez dit séduction ? Bienvenue dans l’univers de la femme sénégalaise.

Être une djongué ( séductrice ) est naturelle chez elles car tout est fait pour qu’elles apprennent à tenir un foyer depuis le bas âge.

Aujourd’hui il est temps de lever le mystère sur l’arsenal de ces femmes qui font d’elles des incontournables en matière de sexualité.

Baya et chaîne au rein (Bine Bine)

 Cet accessoire est la pièce maîtresse de l’arsenal. Que ce soit de grosses perles ou de toutes petites, l’important est de faire sensation. Les plus grosses perles sont réservées aux femmes âgées, quand les plus jeunes préfèrent des perles moins lourdes, fines (bine bine) ou des chainettes dorées. 

Parfois ces accessoires de la taille sont très évocateurs par des messages en français comme «je t’aime» ou en wolof « beugg nala.

Encens (thiouraye)

Être désirable c’est bien mais préparer le ring avant le match c’est encore mieux.

La sénégalaise ne laisse rien au hasard à tel point que la chambre est préparée d’avance avant l’arrivée de la victime.

Que ce soit le Némmali (achever),le seur bou tass (pagne défait), ou saucou kani (sauce pimentée), l’encens donne déjà le ton au conjoint quand il rentre après la journée.

Il arrive parfois qu’elles associent certaines plantes aux effets aphrodisiaques, destinées à renforcer l’odeur et son effet sur leurs époux.

La lingerie, une arme infaillible 

Le marché sénégalais est très diversifié quand il s’agit de lingeries révélant la sensualité de la femme.  

On ne peut cependant pas parler de lingerie sans brandir le petit pagne ou encore béthio.

Souvent très coloré, tissé ou encore décoré de paillette, le petit pagne représente la dernière pièce du puzzle de cet arsenal.

Associé aux perles de rein, c’est un combo gagnant à coup sûr.

Les aphrodisiaques et mixture

Vous ne pourrez jamais atteindre les compétences d’une sénégalaise si vous négligez cet aspect de la séduction.

Les philtres d’amour , cure dent , gels, pastilles, savons, comprimés et pommades à introduire dans le sexe sont des indispensables dans l’arsenal de la femme sénégalaise.

Ces éléments associés à un plat pimenté avant de début des hostilités ont pour seul but de réveiller l’appétit sexuel du mâle mais surtout le garder auprès d’elles étant donné la rude concurrence.

Pour la femme sénégalaise, il faut être djongué (coquine) pour retenir son homme, sinon il ira voir ailleurs».

Au delà de la sexualité, une culture 

La séduction sénégalaise est certes reliée à la sexualité dès l’entame de la question mais il est important de savoir que le peuple sénégalais est profondément encrée dans sa culture.

Il est essentiel pour eux de valoriser les mœurs et cela passe par des foyers stables et durables.

Bien de femmes d’autres peuples ont cherché à atteindre la grâce reconnue aux sénégalaises sans jamais atteindre cet idéal.

Le secret réside dans l’éducation accordée à ces femmes dès l’enfance qui ne laisse passer aucun détail qui pourrait nuire à la réputation de leurs familles.

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