En Biélorussie, sous la présidence autoritaire de Loukachenko depuis 1994, des mesures répressives inhabituelles ont été mises en place pour réduire l’opposition au silence.
Outre la censure de la liberté d’expression et de la presse, une mesure étonnante a été prise : l’interdiction d’applaudir, considérée comme une forme insolite de contestation du régime.
Loukachenko, parfois qualifié de dernier dictateur d’Europe, maintient un contrôle strict sur le pouvoir, interdisant aux citoyens de critiquer ou de s’opposer à ses décisions.
La presse est muselée, les prisons sont pleines, et le dirigeant va encore plus loin pour éliminer toute velléité d’opposition.
En plus de cette mesure, d’autres restrictions sont imposées, telles que l’interdiction d’actionner les klaxons par les automobilistes.
Il y’a également l’éviction des musiciens des rues, et même la proscription des couleurs rouge et blanc dans l’espace public, symboles de l’opposition incarnée par Svetlana Tikhanovskaia depuis l’étranger.
S’habiller dans ces coloris expose à des risques d’arrestation, faisant de ces mesures draconiennes un arsenal complet visant à maintenir le pouvoir en place.