Alors que le climat reste tendu suite à l’attaque terroriste tragique de Moscou, le Service fédéral de sécurité russe (FSB) a annoncé, vendredi 29 mars, avoir déjoué un attentat terroriste planifié dans la région de Stavropol, dans le sud du pays. Trois individus originaires d’un pays d’Asie centrale ont été appréhendés alors qu’ils préparaient une attaque à la bombe dans un lieu public fréquenté.
Les autorités ont découvert des composants d’une bombe artisanale, des substances chimiques et un kilo de clous de 40 mm destinés à maximiser les dégâts. Ces éléments ont révélé la gravité des plans des suspects, confirmant leur intention de semer la terreur.
Cette tentative d’attentat survient seulement une semaine après l’attaque meurtrière au Crocus City Hall de Moscou, où au moins 143 personnes ont perdu la vie, et plusieurs centaines d’autres ont été blessées. Le président Poutine a déclaré une journée de deuil national en mémoire des 143 victimes, exprimant la détermination de la Russie à traquer et punir les responsables.
Les soupçons se tournent également vers l’Ukraine, certains liens entre les terroristes et des contacts dans ce pays étant suspectés. Kiev rejette ces allégations, mais l’enquête continue de suivre cette piste. Au niveau international, les réactions sont marquées par l’horreur et la solidarité envers la Russie. Des dirigeants du monde entier, dont [nommer quelques dirigeants], ont condamné l’attaque et offert leur soutien, soulignant l’importance de l’unité face au terrorisme.
Malgré ces succès dans la prévention des attaques, la Russie demeure consciente de la persistance de la menace terroriste. Les récentes arrestations au Tadjikistan liées à l’attaque de Moscou témoignent de l’ampleur de ce défi sécuritaire.