Israël exclut tout cessez-le-feu un mois après le début d’une guerre dévastatrice

Un véhicule militaire israélien est photographié près de la ville de Safed dans le nord d'Israël le 7 novembre 2023. (Photo par FADEL SENNA / AFP)

Un mois s’est écoulé depuis l’attaque violente du Hamas, mais la situation à Gaza reste désespérée. Les bombardements israéliens ont tué plus de 100 personnes lors de la dernière nuit, portant le bilan à plus de 10 000 victimes, dont 4 237 enfants. Les civils palestiniens sont pris au piège, sans eau ni électricité, en raison du siège israélien imposé depuis début octobre.

Un Palestinien porte une victime d’un bombardement israélien à Rafah. (Photo de SAID KHATIB / AFP)

Pendant ce temps, en Israël, une minute de silence a été observée pour honorer les victimes israéliennes. Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, insiste sur la nécessité de libérer les otages israéliens détenus par le Hamas avant tout cessez-le-feu à Gaza.

Les appels à un arrêt des hostilités se multiplient, mais les États-Unis soutiennent le droit d’Israël à se défendre. Les Nations unies et d’autres organisations humanitaires pressent pour un cessez-le-feu afin d’organiser une réponse humanitaire efficace.

Pendant ce temps, les violences s’intensifient en Cisjordanie, où plus de 150 Palestiniens ont perdu la vie. La quête d’une solution pacifique semble de plus en plus difficile alors que les souffrances des civils palestiniens et israéliens se prolongent dans cette crise en cours.

Via AFP

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