Kessiya
Aucun Résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Culture
  • Divertissement
  • Sport
  • Politique
  • Abidjan
  • Afrique
  • Côte d’Ivoire
  • International
  • CAN 2023
  • Accueil
  • Culture
  • Divertissement
  • Sport
  • Politique
  • Abidjan
  • Afrique
  • Côte d’Ivoire
  • International
  • CAN 2023
Aucun Résultat
Voir tous les résultats
Kessiya
Aucun Résultat
Voir tous les résultats
PUBLICITÉ
PUBLICITÉ

Accueil » Agriculture » Côte d’Ivoire : La filière anacarde face à des défis persistants

Côte d’Ivoire : La filière anacarde face à des défis persistants

par Charles Sibailly
avril 16, 2024
dans Agriculture, Côte d'Ivoire
Share on FacebookWhatsapp

LIRE AUSSI

Amélioration des conditions de travail et de vie des secrétaires : Le SYNASEF-CI propose des solutions

Daloa : La DPSD met fin aux activités d’un grand trafiquant de drogue

Tiémoko Meyliet inaugure le CHR et l’Hôtel de Ville de Bouaké

La saison de commercialisation de l’anacarde en Côte d’Ivoire, l’un des principaux producteurs mondiaux de noix de cajou, débute avec des perspectives mitigées pour les acteurs locaux.

Les prix au bord du champ oscillent entre 200 et 300 francs CFA le kilo, mais l’absence de pré-financement de la part des acheteurs laisse les producteurs dans l’incertitude, les contraignant à stocker leurs récoltes de l’année passée en plus des nouvelles. Cette stagnation financière entrave le dynamisme de la campagne, avec des conséquences néfastes pour toute la chaîne de valeur.

Tant les usines locales que les multinationales observent la situation avec précaution, estimant que les prix actuels sont en deçà des coûts de production, engendrant des pertes significatives pour les transformateurs. En effet, la rentabilité est compromise, avec une perte moyenne de 170 francs CFA par kilo de noix transformées. De plus, la qualité des noix disponibles sur le marché ne répond pas aux normes requises, compliquant davantage la situation.

Noix de cajou

Les transformateurs locaux, déjà fragilisés par des problèmes d’approvisionnement et de compétitivité, peinent à absorber les chocs économiques. Malgré les efforts de l’État pour les soutenir, notamment par le biais d’amorçages, beaucoup n’ont toujours pas reçu les fonds nécessaires pour démarrer leurs achats. Cette situation met en péril la qualité des noix disponibles sur le marché, alors que la campagne touche à sa fin.

Le Conseil Coton Anacarde reste optimiste quant à la possibilité de dépasser la barre des 300 000 tonnes de noix brutes transformées cette année en Côte d’Ivoire. En parallèle, des mesures sont prises pour injecter des liquidités sur le marché et faire respecter les prix officiels, notamment par des achats groupés auprès des coopératives de producteurs.

Votre Page

A voir également sur Kessiya

PUBLICITÉ
Tags: agricultureanacardecôte d'ivoire
PartagerEnvoyé
, Telegram : @KessiyaCom Rejoignez Kessiya sur Télégram

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

, Telegram : @KessiyaCom Rejoignez Kessiya sur Télégram

Lettre d’information

PUBLICITÉ
Kessiya

© 2023 Kessiya

Liens utiles

  • A Propos
  • Africa News
  • Mentions légales
  • Politique privée

Suivez-nous

Aucun Résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Category
  • Landing Page
  • Buy JNews
  • Support Forum
  • Pre-sale Question
  • Contact Us

© 2023 Kessiya