Kessiya
Aucun Résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Culture
  • Divertissement
  • Sport
  • Politique
  • Abidjan
  • Afrique
  • Côte d’Ivoire
  • International
  • CAN 2023
  • Accueil
  • Culture
  • Divertissement
  • Sport
  • Politique
  • Abidjan
  • Afrique
  • Côte d’Ivoire
  • International
  • CAN 2023
Aucun Résultat
Voir tous les résultats
Kessiya
Aucun Résultat
Voir tous les résultats
PUBLICITÉ
PUBLICITÉ

Accueil » Afrique » Niger: pour l’ex-président Issoufou, une intervention militaire serait une “faute”

Niger: pour l’ex-président Issoufou, une intervention militaire serait une « faute »

par Charles Sibailly
septembre 23, 2023
dans Afrique
Share on FacebookWhatsapp

LIRE AUSSI

Burkina Faso : Retour au pays de la dépouille de l’influenceur Alino Faso, interpellé en Côte d’Ivoire

RDC : Plus de 80.000 déplacés en un mois à cause des violences armées en Ituri

Le Qatar renforce ses liens avec l’Afrique : des annonces d’investissements attendues lors d’une tournée diplomatique

L’ancien président du Niger Mahamadou Issoufou (2011-2021), discret depuis le coup d’État du 26 juillet, a estimé samedi qu’une intervention militaire extérieure contre son pays pour rétablir l’ordre constitutionnel serait une « faute », appelant à une « solution négociée ».

« Toujours préoccupé par la grave crise que connaît mon pays, le Niger, je réaffirme que seule une solution négociée ouvrira la voie au retour rapide à un ordre démocratique stable », a affirmé M. Issoufou dans une série de publications sur X (anciennement Twitter).

« Une intervention militaire extérieure, dont les conséquences humaines et matérielles sont incalculables, y sera une source d’instabilité durable (…) Plus qu’une erreur, y recourir serait une faute. Je suis sûr que les chefs d’État de la Cedeao puiseront dans leur immense sagesse pour ne pas commettre une telle faute », a-t-il ajouté.

La communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (Cedeao) menace depuis plusieurs semaines les auteurs du putsch d’une intervention militaire pour rétablir le président renversé, Mohamed Bazoum, qui avait succédé à M. Issoufou.

Elle avait annoncé que le jour et les modalités de l’opération avaient été décidés, priorisant toutefois la voie diplomatique.

Soutenue par plusieurs pays occidentaux, dont la France, l’organisation ouest-africaine reste désormais relativement silencieuse sur la question d’une éventuelle intervention.

Depuis le coup d’État, plusieurs publications sur les réseaux sociaux ont évoqué le rôle supposé de Mahamadou Issoufou dans le coup d’État du 26 juillet.

« Archi-faux », avait répondu M. Issoufou dans une interview à Jeune Afrique, le 17 août, appelant à la libération de M. Bazoum et sa « restauration dans ses fonctions ».

Via AFP

Votre Page

A voir également sur Kessiya

PUBLICITÉ
Tags: NIGER
PartagerEnvoyé
, Telegram : @KessiyaCom Rejoignez Kessiya sur Télégram

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

, Telegram : @KessiyaCom Rejoignez Kessiya sur Télégram

Lettre d’information

PUBLICITÉ
Kessiya

© 2023 Kessiya

Liens utiles

  • A Propos
  • Africa News
  • Mentions légales
  • Politique privée

Suivez-nous

Aucun Résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Category
  • Landing Page
  • Buy JNews
  • Support Forum
  • Pre-sale Question
  • Contact Us

© 2023 Kessiya