Le Burkina Faso a été le théâtre d’une série d’attaques meurtrières le 25 février, avec des dizaines de victimes dans des lieux de culte musulmans et catholiques.
Une mosquée à Natiaboani, dans l’est du pays, a été la cible d’une attaque brutale, où plusieurs dizaines de fidèles ont été tués lors de la première prière du jour.
Les assaillants ont également visé des membres de l’armée et des civils, causant d’importants dégâts matériels.
Parallèlement, une église catholique dans le nord du Burkina a été attaquée, faisant au moins quinze morts et deux blessés par des présumés jihadistes lors de la messe.
Le vicaire général du diocèse de Dori, l’abbé Jean-Pierre Sawadogo, a confirmé ces événements tragiques.
En réaction à ces actes de violence, le pape François a exprimé sa profonde affliction et sa peine aux familles des victimes.
Il a également exprimé sa tristesse à la communauté musulmane touchée par l’attaque contre la mosquée à Natiaboani.
Le Saint-Père a souligné que la haine ne peut être la solution aux conflits, appelant à la paix et à la solidarité dans ces moments difficiles.