L’Afrique à annoncé, le 20 février, son soutien un projet de convention fiscale mondiale qui prévoyant de mettre de l’ordre dans les règles fiscales internationales et empêcher les grandes entreprises de ne pas payer leurs impôts. Il est important pour le développement durable du continent et du monde.
Cette convention fiscale mondiale est un accord qui est discuté par un comité de l’ONU. Ce comité rassemble des représentants de tous les pays du monde. Il doit trouver un compromis qui respecte les intérêts de tous les pays, surtout ceux du Sud.
Le but de cet accord est de faire en sorte que les pays où les entreprises font des affaires et ceux où elles sont basées partagent équitablement les impôts. Il veut aussi renforcer la coopération et l’échange d’informations entre les services fiscaux des différents pays. L’Afrique appuie ce projet, car elle pense qu’il peut lui apporter plus de ressources financières pour se développer durablement. Elle a deux plans de développement durable : l’Agenda 2063 et l’Agenda 2030.
L’Agenda 2063 est le plan de l’Afrique pour les 50 prochaines années. Il veut faire de l’Afrique une puissance mondiale de l’avenir. Il veut que l’Afrique soit unie, prospère et pacifique. L’Agenda 2030 est le plan de l’ONU pour les 10 prochaines années. Il veut éliminer la pauvreté et protéger la planète. Il a 17 objectifs de développement durable (ODD) qui touchent à des domaines comme le climat, l’énergie, l’eau, l’éducation, la paix, etc.
L’Afrique demande à ce que la convention fiscale mondiale soit compatible avec ses plans de développement durable. Elle demande aussi plus de solidarité, de financement, de commerce, de technologie et de participation aux décisions mondiales. Le continent croit en ses capacités et veut contribuer au bien commun de l’humanité. Elle s’engage à travailler avec tous les partenaires pour faire avancer la convention fiscale mondiale et ses plans de développement durable.